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Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal.

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AuteurMessage
Anonymous
Invité
c'est moi, tu me connais déjà ?
MessageSujet: Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. EmptyMer 24 Juin - 18:32


Isalyne R. Lancaster
24 ans
NE(E) A Hamptons
ARCHITECTE
CELIBATAIRE
DANS LA NORME

« Isalyne, qu'est-ce que tu fabriques encore ? arrête de te regarder dans le miroir et viens manger! » des pas dévalèrent les escaliers, quatre à quatre, pas suivis d'un j'arrive ! étouffé par les rires de la gamine que j'étais. une jolie blonde aux belles boucles ondulées, une jolie blonde de cinq ans qui venait de rentrer d'un anniversaire dans le voisinage, vêtue d'une robe de princesse rose - ou était-ce une robe de fée ? - une robe qui lui promettait un bel avenir. toute petite fille rêve d'épouser un prince charmant avec un beau cheval blanc. c'est ainsi. c'est la vie. et malheureusement, je ne peux pas prétendre, à présent, avoir eu cette chance. arrivée au bas des marches de la belle petite maison que notre père avait réussi à nous financer, cette certes modeste maison était à mes yeux le lieu le plus important pour moi. je m'étais précipitée vers la table de la cuisine où se conduisaient nos petits repas de famille. mais maman n'aimait pas trop se trouver dans cette salle lorsque nous étions tous les trois. elle, tak et moi. tak mon petit frère que j'aimais plus que tout, il fut un temps. tak ma poupée vivante, la seule poupée du magasin qui respirait et grandissait en même temps que moi. la couronne en plastique encore présente sur mes cheveux, je m'étais mise à brailler, pleine de confiance en moi « maman, maman ! » la belle jeune femme qui aujourd'hui a été remplacée par cet être fébrile et impuissant s'était contentée d'incliner sa tête légèrement vers ma petite personne, sans pour autant s'interrompre dans ses activés, à savoir, la préparation du dîner. je me rappelle de la couleur de sa robe, ce jour d'hiver ... aussi longtemps que je puisse me souvenir, jamais ne semblait-elle avoir froid, hormis la rare fois ou deux ... ses cheveux toujours élégamment attachés en un chignon simple mais pratique, elle auparavant travaillé dans des grandes entreprises ... notamment celle où elle avait rencontré notre père. il était plus âgé, elle était plus jeune. c'était le genre d'histoire d'amour qui produisait des étincelles, et brûlait si elle n'était pas prise avec des pincettes. « oui ? » me demanda-t-elle alors, d'un ton distrait. « maman, lui répondis-je, pleine d'enthousiasme, maman, oncle david a dit que je serais la fille la plus jolie du monde un jour ! et que j'aurais tous le jouet du monde et que toutes les grenouilles viendraient me voir parce qu'elles voudront être mon prince charmant ! » surement agacée par mon comportement et son manque de temps à me consacrer, elle enlevait alors ses belles lunettes de vue et soupire en posant le regard sur moi « les jouets Isalyne, on dit les jouets ! et arrête de croire tous ce que te dis oncle davis. » c’est avec un mine attristée que je m’installais sur la chaise, attendant, bras croisés sur ma petite poitrine le repas.


je vivais donc avec une mère qui ne faisait pas attention à moi, qui ne vivait que pour sa maison, qu'elle soit propre, faire des gâteaux à tout va. mais je ne sais pas pourquoi, tout cela ne me dérangeait pas, je me suis habituée à vivre comme ça. et pourtant, j'étais devenue une fille que je n'aimais pas. Il fallait que je parte, il fallait que je prenne l'air et surtout pour me retrouver moi même. mettre certaines choses en place.
j'ai donc trouvé un poste dans ma branche, l'architecture. depuis toujours, j'ai été passionnée par les plans de maison, dessiner des bâtiments. ce n'était qu'un rêve pour moi, et pourtant pour la première fois de ma vie. j'ai tentée ma chance et j'ai réussis. tout se passait plûtot bien pour moi, je me faisais petit à petit à cette nouvelle vie. j'avais mon propre appartement et quelques semaines plus tard, à mon propre travail, j'ai rencontré un jeune homme. un grand brun avec un regard d'un bleu des plus profond... notre histoire se passait des plus bien et pourtant, tout le monde sait que dans chacune des histoires rien ne se passe comme prévu. nous en sommes la preuve vivante. je ne me sentais pas bien, j'avais des nausées depuis quelques jours, j'avais mis ça sur le compte de la fatigue. mon travail me prenait énormément de temps, mais mon petit ami m'a conseillé de consulter un médecin pour savoir ce que j'avais. j'ai donc pris rendez-vous le plus vite possible, et cette consultation a changé complètement ma vie. je me rappelle de tout, le bruit, l'odeur de la salle d'attente. de son sourire angélique quand il me demandait de prendre place face à lui et de lui dire ce qu'il n'allait pas chez moi. « depuis plus de deux semaines, j'ai quelques nausées et surtout, j'ai des crampes au niveaux du bas ventre. » il écrivait tout ce que je disais et se levait pour m’ausculter. je pris alors place sur la table, j'étais nerveuse, je ne savais pas ce qu'allait advenir de cette séance. il me regardait et me demandait avec douceur. « enlevez votre haut mademoiselle. » je me pinçais la lèvre et me retrouvais donc en sous vêtement devant lui. je m'allongeais sur la table et je sursautais quand le médecin posait ses mains sur mon ventre. ses mains étaient froides, je fermais les yeux et il touchait avec insistante mon bas ventre. il prit ma tension, et toutes les choses banales que les médecins font et il me demandait de nouveau. « vous pouvez vous rhabiller mademoiselle lancaster. » je me relevais et lui adressais un joli sourire. remettant mon haut, le docteur me posait une question des plus étrange. « il y a des antécédents de cancer dans votre famille ? » je relevais immédiatement la tête et rétorquais sans même réfléchir. « oui, ma grand mère est décédée d'un cancer des ovaires, pourquoi?.. » et je pouvais voir à son visage que quelque chose clochait en moi. il tentait tant bien que mal de me rassurer. « ne vous affolez pas, mais j'ai senti une grosseur au niveau de vos ovaires. vous devez faire une prise de sang et prendre rendez-vous chez un gynécologue. » je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il se passait. je sortais du cabinet du médecin blanche, livide et je pris immédiatement mon téléphone pour prendre rendez-vous pour faire cette prise de sang.
quelques jours plus tard, j'attendais avec hâte et impatience les résultats de mes analyses, bien sûr je n'en n'avais pas parlé à mon petit ami. je ne voulais pas l'alarmer. l'enveloppe en main, je l'ouvrais avec peur. je commençais à lire et pris mon téléphone pour appeler mon médecin. je ne comprenais absolument rien de cette foutue analyse. je décrivais alors les chiffres au médecin et, j'entendais un long raclement de gorge venant de lui. je lui demandais des réponses. « crachez le morceau ! dîtes moi ce que ça veut dire. » je pris une grande inspiration et écoutais avec attention la réponse de mon médecin. « c'est un cancer mademoiselle lancaster, mais ne vous en faites pas. ça se soigne très bien de nos jours. » je n'écoutais plus aucunes paroles, l'enveloppe s'échappait de mes mains et je ne sais combien de temps je suis restée dans la même position. mais quand mon petit ami rentrait du travail, il me retrouvait assise sur le lit, complètement perdue dans mes pensées. je n'avais personne, à part lui... mon petit ami, mon fiancé à présent. il était là dans chacune de mes épreuves, les rendez-vous chez les spécialistes pour entendre dire que je ne pourrais peut être jamais avoir des enfants. qu'il devait m'enlever les ovaires si je voulais vivre sans risque. mais il était hors de question pour moi de faire ce sacrifice, même si nous avions jamais parlé de ça. je ne voulais pas d'une vie sans enfants. alors j'ai suivis des multiples traitements. et puis j'en avais marre, marre d'être loin de ma famille, je voulais reprendre ma vie d'avant et oublier tout mes problèmes. j'ai donc demandé à mon petit ami si il me suivrait dans mon ancienne ville et avec ma plus grande surprise, il acceptait.

deux ans... deux longues années sans même ma famille ou plutot ma mère, sans avoir une seule de ses nouvelles. Et comme d'habitude dans ma vie, rien ne se passait que je le voulais. Nous venons à peine de trouver un joli appartement qui nous plaisait à tout les deux, mon petit ami et moi. Quand un soir, je rentrais plus tôt que prévu et ce que j'ai vu changea alors tout en moi. Mon fiancé, non pardon, mon ex fiancé dans les bras d'une autre. Dans notre lit.

INFORMATION : oublies pas que pour être validé tu dois envoyer un mp avec ton secret à Blackmailer, cea peut être un secret ou quelque chose de honteux dont tu n'aimes pas parler, cela peut être quelque chose de positif ou négatif à toi de voir (a)


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∞ Dans la vie mon occupation est : étudiante en business pour faire plaisir à papa ; avec en deuxième filière la danse ; mannequin à ses heures ; égérie de la marque de son amie "carlson"
∞ Côté coeur, je suis : célibataire
MessageSujet: Re: Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. EmptyMer 24 Juin - 18:42

Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche, j'adore ton choix d'avatar elle est magnifique Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. 3920960430
Oublies pas d'envoyer ton secret au blackmailer pour être validé par la suite
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Blackmailer
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MessageSujet: Re: Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. EmptyMer 24 Juin - 18:59

Isalyne R. Lancaster
ton secret est validé
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MessageSujet: Re: Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. EmptyMer 24 Juin - 19:00



« BIENVENUE SUR
MY BED OF LIES. »


Tu es officiellement validée Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. 2676119293 et maintenant tu peux enfin t'amuser parmi nous en ayant des rps, des liens et dans le flood avec tout les membres, oublies pas de faire ta demande de groupe afin que tu ais ta couleur. Afin de t'aider à trouver les endroits importants voici les liens qui t'aiderons :

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MessageSujet: Re: Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Isalyne + S’autoriser a aimer, c’est prendre le risque de se faire terriblement mal. Empty

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